La MDPH et le squelette (suite)
Suite du premier billet que vous pouvez consultez là:
http://theomaluanneief.canalblog.com/archives/2011/02/16/index.html
Le rendez-vous avec l'équipe pluridisciplinaire de la MDPH s'était très bien déroulé. Une grande écoute, des question pas embarrassantes du tout et une grande gentillesse avec Théophile... Nous étions sortis ravis de cette entrevue!
A peine un mois plus tard, la décision de la commission (CDAPH) vient de nous être communiquée: nous avons été suivis à 100% et le complément qui nous avait été accordé la première fois (en novembre 2009) est reconduit.
C'est un soulagement pour nous! La constitution du dossier avait été longue (nous voulions y mettre un maximum de documents) et l'attente encore plus...
Théophile va donc garder son accompagnante selon les mêmes modalités qu'aujourd'hui et le seul fait de pouvoir inscrire cette prise en charge sur une période assez longue nous paraît judicieux.
Juste un détail: notre dossier a été déposé le 31 janvier 2011 à la MDPH, la commission a traîté le dossier de Théophile le 11 mars et la notification nous est parvenue le 17 mars. Soit au total, un mois 1/2.
Je précise que la MDPH a 4 mois pour rendre une décision à partir de la date de dépôt du dossier et 15 jours pour la notifier par courrier. Les délais plus que corrects de notre MDPH, vous le voyez, sont à souligner...
Nortre exemple montre le sérieux et le professionnalisme de certaines MDPH. Je sais que certains ne partageront pas mon enthousiasme et que des départements sont d'une grande lenteur dans le traîtement des dossiers. A ce propos, il semble que le gouvernement ait diligenté une étude sur les disparités entre les MDPH (délais, montant des prises en charge...).J'avais lu un article à ce sujet sur le blog: "Au bonheur d'Elise" mais je ne le retrouve plus. Si J.J Dupuis pouvait m'aider...
Espérons qu'ensuite des parents n'aient pas à attendre des mois et des mois une décision. Attente qui met souvent toute la famille sous pression!!!!
Quant à Théophile, il va pouvoir continuer son squelette...
Valérie